Pour notre mur des libertés, un morceau de ciel dérobé et un poème d’Emily Jane Brontë.
Très chaleureuses pensées.
Olivia Kryger, metteure en scène
« Mon plus Grand bonheur, c’est qu’au loin
Mon âme fuie sa demeure d’argile,
Par une nuit qu’il vente, que la lune est claire,
Que l’oeil peut parcourir des mondes de lumière –
Que je ne suis plus, qu’il n’est rien –
Terre ni mer ni ciel sans nuages –
Hormis un esprit en voyage
Dans l’immensité infinie. »Emily Jane Brontë (1818 – 1848)